Deux mots, "on Fire", sur un fond graphique qui reflète le feu. Une ambiance de base chaude et enflammée traduite graphiquement. Un magenta foncé et un vert clair, qui représentent le feu, les flammes. Un noir pour le brûlé et la cendre. Des formes de flammes qui vacillent de manière abstraite et qui sont placées dans de nouveaux contextes. Un feu qui ne s'élève pas, mais qui semble se propager à l'horizontale. Pas de rouge ou de jaune, mais des couleurs détournées. Est-ce que c'est encore un vrai, un authentique feu. Et c'est précisément la question qui se pose ici. Tout ce que nous vivons et faisons est-il réel ? Est-ce que le vrai feu brûle encore en nous ? Ou sommes-nous en train de laisser notre lumière s'éteindre ? Avons-nous trop changé et nous sommes-nous trop adaptés et avons-nous perdu notre nature originelle ? Les flammes sont-elles encore des flammes ou plutôt des vagues, et c'est là que le bleu-turquoise entre en jeu. Une impression d'eau. Les flammes et l'eau s'associent. L'irritation naît. La confusion s'installe. Qu'est-ce qui est quoi ? Et le feu n'est plus "on" lorsque l'eau s'y ajoute. Ou bien le feu est-il devenu de l'eau ? La confusion s'installe. Et c'est exactement dans cet état que semblent se trouver le monde et les hommes. Le feu est et reste le feu, et idem pour l'eau. Alors pourquoi les gens supposent-ils qu'ils doivent être comme les autres ?
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