Sous la lumière dorée du soleil belge, le plancher des turbines de la Centrale des Awirs révèle son éternel silence. Autrefois cœur battant de l'innovation industrielle, il est aujourd'hui enveloppé dans le deuil silencieux de la démolition. Ici, où l'âme de l'énergie électrique résidait autrefois, ne flotte plus que l'écho des énergies passées.
Le silence qui règne est à la fois un hommage au passé et un adieu nostalgique à une époque qui ne reviendra jamais, et le vide qui règne maintenant en dit long sur le caractère éphémère de la création humaine. Ode à l'impermanence, le plancher de la turbine de la Centrale des Awirs reste un rappel silencieux mais poignant du cycle d'ascension et de chute, capturé dans la symphonie silencieuse de la désolation.
Je m'appelle T.3xplore. Depuis l'âge de 12 ans, ma passion est de capturer des endroits que les citoyens ordinaires ne verraient jamais autrement... En savoir plus…