Deux champignons se dressent comme de fragiles sculptures sur le sol de la forêt, pris dans un jeu d'ombre et de lumière. Leurs chapeaux translucides laissent filtrer doucement la lumière du soleil, révélant de fines lamelles comme un réseau fragile. L'arrière-plan s'estompe en cercles de lumière, comme si la forêt elle-même respirait le bokeh.
Cette photographie procure un sentiment de calme et d'émerveillement. Elle invite à regarder avec attention le petit, le fragile, le poétique de la nature. Au mur, cette œuvre offre un moment de calme, un murmure visuel qui rappelle la beauté de l'anodin et la magie de la lumière qui touche la vie.
En raison de difficultés mentales, j'ai commencé à pratiquer la photographie comme passe-temps. Ce hobby m'a apporté beaucoup de nouvelles perspectives et de nouveaux défis, me permettant de vivre la vie plus agréablement et d'en profiter davantage.
J'espère pouvoir vous faire profiter de mes photos également...
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