Lors d'un coucher de soleil enchanteur à Kullaberg, dans le sud-ouest de la Suède, le soleil envoie ses derniers rayons vers le phare. C'est comme s'il touchait la tour, la transformant en une lampe pilote qui veille sur le paysage - jusqu'à ce que le soleil se lève à nouveau de l'autre côté du monde.
La journée a commencé par un temps froid et venteux, avec une couverture nuageuse presque impénétrable que le soleil parvenait à percer de temps à autre. Une couverture nuageuse qui donnait au paysage une vue presque sans ombre et très contrastée. Pour un photographe de voyage, cela signifie souvent une interruption du processus créatif.
Lorsque l'inspiration me fait défaut, l'appareil photo disparaît dans le sac à dos pour m'empêcher de prendre trop d'"instantanés". Je m'assois un instant, je sens le vent dans mes cheveux, je respire l'odeur du paysage et je ferme les yeux un instant. Puis je regarde à nouveau et j'essaie de ne pas penser en rond, car se demander "où sont passées mon inspiration et ma créativité" n'aboutit souvent qu'à un cercle vicieux. Un cercle qui me détourne encore plus des processus nécessaires à la réalisation d'une photographie attrayante.
La journée a commencé sous un soleil mouillé, mais le ciel s'est embrasé au coucher du soleil.
Je m'appelle Gerry van Roosmalen, photographe et auteur passionné par les images et les histoires qui touchent. Après des années passées dans le monde de l'entreprise, j'ai suivi mon cœur et choisi la photographie en 2002. J'ai suivi les cours de la Fotovakschool à Apeldoorn et me suis.. En savoir plus…
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