Dans les ruines d'une salle oubliée, où les prières résonnaient autrefois et où il ne reste plus que des cendres, se tient une femme vêtue d'une lourde robe de tissu noir de fumée, qui semble avoir été elle-même tissée à partir de mousse carbonisée. Sa présence est silencieuse, immobile - mais tout est vivant autour d'elle.
Quatre sphères de verre lumineuses flottent autour d'elle. A l'intérieur : un cerf flamboyant, deux cloches, une bougie allumée - comme symboles des quatre forces primaires qui agissent entre souvenir et révélation. Le cerf : l'animal des frontières, le gardien. Les cloches : L'avertissement et l'appel. La bougie : la dernière lumière dans le crépuscule.
De son souffle s'élève une fine brume qui se mêle à la fumée des boules de verre. La frontière entre l'intérieur et l'extérieur s'estompe. Elle semble être une relique d'un autre temps - ou une prophétesse de ce qui viendra quand tout le reste sera tombé depuis longtemps.
"La gardienne des feux de verre n'est pas une accusation. Elle est l'écho d'un ancien serment, une promesse silencieuse à ce qui ne doit pas être oublié.
Une image d'une sombre beauté qui retient le souffle. Elle rappelle que certains gardiens ne se battent pas - ils restent. Même quand tout le reste brûle. Même quand il n'y a plus que de la fumée et des signes qui parlent.
Conçu par Klaus Tesching - Art-AI, visualisé avec AI.
Basé dans la vibrante ville de Stuttgart, Klaus Tesching est une figure établie dans le monde de la photographie, avec une carrière impressionnante qui s'étend sur quatre décennies. Son vaste travail de photographe l'a conduit à travers les aspects les plus divers de l'art visuel, son attention.. En savoir plus…