Dans cette œuvre et ce monde miniature "OUT OF THE BLUE", je permets à des mondes de converger et de s'écouler dans un collage en couches. D'une part, à travers les formes d'art utilisées telles que l'aquarelle, la photographie et la technique numérique, d'autre part, il y a les mondes lointains, les cieux, les cieux et les mers qui ont été parcourus, traversés et dépassés sous toutes les formes possibles, qu'elles soient émotionnelles, spirituelles, psychologiques ou physiques. Mais toujours, le grand s'unit et s'écoule dans le précieux parce que le petit est vulnérable, précisément dans cette couleur, cette incidence de lumière, cette profondeur ou cette forme, où les cercles peuvent à nouveau devenir ronds. Ici aussi, des mondes silencieux et inaudibles se cachent derrière le visible, apparemment banal, d'un horizon et d'un ciel familiers. Ici, le soleil, la mer, la terre, le sol, le ciel et le temps se rejoignent.
Celui qui regarde et écoute attentivement entend et voit les profondeurs feutrées de la lumière qui font écho au bruissement bleu, à l'approche du silence d'une promesse d'un jour, d'un moment et d'un autre. La lumière peut aussi inonder une personne de mélancolie, dans un désir paradoxal de retour à d'autres temps, lorsque la promesse de liberté, cette sensation de dépassement, n'était pas une évidence. Cette promesse dissout celle d'une autre promesse, plus noire, par intermittence.
Rétrospectivement, en regardant le(s) monde(s) à travers une fenêtre différente et d'un point de vue différent, tout cela en valait largement la peine.
C'était l'époque où l'eau de fonte de la neige noire prenait peu à peu des couleurs. La maison qui donne sur un nouvel horizon repose à nouveau sur des fondations indestructibles. La question est de savoir ce que je veux sur le mur. Les images que je vois défilent.. En savoir plus…