Dans un monde surréaliste où les frontières entre la réalité et l'imagination s'estompent, un groupe de carpes koï nage sans effort dans un lac de nuages. Leurs écailles colorées captent la douce lumière d'un soleil invisible, tandis que leurs mouvements gracieux provoquent des ondulations dans les nuages aériens, presque liquides. Le lac s'étend à l'infini, une mer de brumes blanches s'enroulant en vagues le long de l'horizon.
Au milieu de ces eaux éthérées se trouve un pêcheur solitaire dans une simple barque en bois. Il rame lentement, ses mouvements sont lents et réfléchis, comme s'il craignait de perturber l'équilibre délicat de ce monde de rêve. L'air est calme, seul le doux clapotis des rames rompt le silence. Le pêcheur semble faire partie de ce paysage surréaliste au même titre que les nuages et les poissons qui l'entourent.
La scène dégage une atmosphère calme, presque méditative, comme si le temps lui-même avait décidé de s'arrêter ici pour un moment. Les qualités surréalistes et cinématographiques de l'image rappellent les chefs-d'œuvre de grands artistes comme Salvador Dalí, dans lesquels la réalité et le rêve se confondent parfaitement. Dans cette scène feutrée, le monde semble se retirer en lui-même pour un moment, un moment de pure contemplation et d'émerveillement. Les carpes koï, que l'on ne trouve normalement que dans les étangs, nagent désormais librement dans les airs, comme autant de symboles d'un monde où tout est possible, pour peu que l'on ose rêver.
Je veux toujours qu'une œuvre fasse quelque chose au spectateur, qu'elle l'immobilise et l'invite à l'introspection. L'œuvre a été créée numériquement.
Conçu par Atmani Blok, visualisé avec AI.
Atmani Blok est un artiste qui s'intéresse à la combinaison de la spiritualité, de l'art et de la nature... En savoir plus…