Dans une ruelle tranquille de Bruxelles, sous le poids d'un pont ferroviaire en pierre, la nuit tombe. Un train passe au-dessus de la ville, ses fenêtres sont de brèves lueurs dans l'obscurité. En contrebas, là où les lampadaires diffusent timidement leur lueur, un homme erre dans la rue déserte. Sur la façade clignote l'enseigne d'un hôtel bon marché, promesse d'abri mais aussi d'anonymat. La ville respire la froideur et la mélancolie, un lieu où les histoires se croisent et disparaissent à nouveau, comme des trains qui vont et viennent. C'est Bruxelles dans son aspect le plus intime : brut, solitaire, mais empreint d'une beauté tranquille.
Créé par Geert Van Baelen avec le soutien de l'IA
Geert Van Baelen travaille comme photographe de presse en Belgique depuis plus de 20 ans. Outre l'actualité, il trouve également l'inspiration pour ses images dans la vie quotidienne, les paysages et les personnes... En savoir plus…