Cela commence toujours par des mots. Des fragments de pensées, des phrases anglaises et néerlandaises mélangées, sans logique mais pleines de sentiments. Avec mes pastels à l'huile, je les égratigne, couche après couche. Un scénario secret, tantôt doux et tendre, tantôt féroce et brut. Puis vient la peinture. Je touche, j'étale, j'étale, je laisse les couleurs s'entrechoquer et disparaître à nouveau. Puis de nouveau des mots, comme si j'avais une conversation avec la toile. C'est un rythme de construction et de relâchement, de chaos et d'immobilité.
Et soudain, sans l'avoir prévu, un visage apparaît. Pas tout à fait, pas très net, mais à moitié visible. Comme si quelqu'un émergeait du brouillard et se retirait tout aussi rapidement. Ce portrait ressemble à quelqu'un qui se dissout dans la foule, qui vit dans l'ombre. Quelqu'un qui choisit de ne pas être vu, ou peut-être de ne jamais être vu. C'est ce caractère insaisissable qui fait sa force.
Petite fille, Daniëlle était déjà obsédée par le bricolage, les crayons, les marqueurs et la peinture. Créer des choses qui n'existaient pas encore. La fantaisie et beaucoup de couleurs l'ont amenée à créer des œuvres particulières, comme des moutons en talons dont la tête sort de.. En savoir plus…
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