Une nouvelle tendance remarquable a vu le jour : les femmes se mettent elles-mêmes à la cuisine et partagent sur les médias sociaux la qualité de leur travail. Cette tendance, connue sous le nom de "tradwife", est une version moderne de la femme au foyer traditionnelle, renforcée par les médias sociaux. Alors que les tendances de la mode sont souvent des itérations, ce mouvement particulier apporte avec lui une nouvelle dynamique et une nouvelle controverse.
Les "tradwives" prétendent être les vraies féministes en choisissant de vivre une vie sans travail. Cela suscite des réactions mitigées, certaines féministes soulignant que la liberté de choix est précisément l'objectif du féminisme. Le problème se pose lorsque ce mouvement dépasse le simple choix d'un mode de vie personnel et qu'il est associé au mouvement de l'"alt-right", en particulier aux États-Unis. Dans ce cas, la promotion des rôles traditionnels pour les femmes blanches est liée aux idéaux de la suprématie blanche, encourageant les femmes à se soumettre à leur mari et à se concentrer sur la naissance d'autant d'enfants blancs que possible.
Le mouvement Tradwife, même s'il semble innocent, est porteur d'une idéologie plus profonde et inquiétante. Il soulève la question de savoir si d'autres femmes, en particulier celles issues de minorités, ont réellement le choix de travailler ou de choisir un partenaire d'une autre origine ethnique. Cette tendance n'est donc pas seulement une question de "féminisme de choix", mais touche à des questions sociales et raciales plus larges.
Tout a commencé avec du papier a4 et des crayons HB. Enfant, j'étais souvent impressionné par la beauté du monde qui m'entourait. L'envie de capturer ce beau monde et de montrer aux gens autour de moi ce que je voyais était en fait présente dès le début. Si je.. En savoir plus…
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