Dans l'immensité du désert du Sinaï, deux pistes disparaissent lentement au loin. Le soleil vient de se coucher ou n'est pas encore levé, jetant une lueur subtile sur le paysage. Le dégradé de couleurs dans le ciel, du violet profond à l'orange chaud, reflète la transition entre la nuit et le jour, entre l'immobilité et le mouvement.
Les traces dans le sable sont le seul signe de présence humaine dans un paysage par ailleurs vierge de pierres, de gravillons et de silhouettes lointaines. Elles conduisent le regard vers l'horizon, où de douces lignes de montagnes forment une frontière tranquille entre la terre et le ciel.
Cette image parle de direction et de silence, de la beauté de la simplicité et de la puissance d'un lieu désolé. Elle soulève des questions tout en invitant au calme. Un paysage sans distraction, pur et ouvert, comme seul le désert peut l'être.
Je vous invite à me rejoindre dans une aventure.
Je m'appelle Marjan et je photographie le monde tel que je le vis : des marchés colorés aux paysages lointains, en passant par les moments de calme dans la nature et au bord de la mer.
Mon travail se situe entre :
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