Au centre se trouve une vieille maison à colombages dont les poutres et le crépi portent la patine des décennies. Photographiée en noir et blanc, elle apparaît comme un souvenir qui résiste à l'oubli. Les lignes claires des colombages ne sont pas seulement un héritage architectural - elles sont aussi des traces de vie : des mains qui ont construit, des voix qui ont habité là. Le toit s'incline légèrement, comme s'il se pliait au vent, et la maçonnerie semble chuchoter des histoires.
Au premier plan, un pilier en briques à moitié recouvert de végétation encadre l'image, comme s'il était un compagnon muet au seuil du passé et du présent. La végétation semble discrète, presque révérencieuse face aux vieux murs qui affirment leur place - non pas bruyamment, mais avec une présence silencieuse.
Cette troisième image complète la série comme une dernière note dans une chanson sur la patrie et le changement. Elle ne montre pas seulement une maison, mais un témoin du temps : érodé par les intempéries, mais pas brisé. "Der alte Kotten" se termine par une image qui ne ferme pas, mais qui reste ouverte - aux souvenirs, aux questions, à la poésie de la vie vécue.
Photographie de la nature, photos urbaines, reportages ou portraits : je me sens à l'aise dans de nombreux genres de la photographie et j'apprécie la possibilité d'expérimenter et de présenter ma vision des choses.
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