L'aliéné d'Etretat, Hugues Merle (1871)
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Le visage de la femme est un masque de souffrance tandis qu'elle berce, non pas un bébé endormi, mais un rondin de bois ! La "lunatique" de Merle pleure-t-elle la perte d'un enfant ou est-elle folle de désir ? En l'absence de réponse claire, on ne peut que s'interroger sur son sort. L'angoisse du personnage est une caractéristique du romantisme, un style qui mettait l'accent sur les images de souffrance, de folie et de mort. Ces images étaient souvent des allusions à peine voilées à des souffrances sociales plus larges ou à des bouleversements politiques.
